Le ministre chargé des relations avec les instances constitutionnelles et la société civile, Kamel Jendoubi a déploré que la Tunisie ne dispose pas d'une législation forte pour se prémunir contre les malversations et les financements opaques de plusieurs associations caritatives.Dans une déclaration accordée à Mosaique Fm, Kamel Jendoubi a affirmé que son département se penche actuellement sur le diagnostic de ce phénomène ajoutant qu'un rapport sur le financement suspect des associations sera bientôt remis au chef du gouvernement.Le ministre a, cependant, précisé que la plupart des associations semblent ne pas avoir de liens avec la corruption en appelant à se garder contre tout amalgame entre travail associatif et malversations.
Posté Le : 09/12/2015
Posté par : infos-tunisie
Source : www.tunisienumerique.com