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Kub-turel PARTENARIAT PUBLIC-PRIVé à l'IHEC


Kub-turel PARTENARIAT PUBLIC-PRIVé à l'IHEC
A l'occasion de la semaine mondiale de l'entrepreneuriat, l'Institut des hautes études commerciales vient d'inaugurer un nouvel amphithéâtre, un vrai centre culturel estudiantin est né.On en parle depuis longtemps de cette fameuse loi sur le partenariat public-privé. Et les habituelles Cassandre n'ont pas cessé de crier au loup pour une mesure qui ne peut être que gagnant-gagnant, du moins en matière de culture et d'éducation.Nos forts en maths, étudiants de l'Ihec et future élite du pays, en étaient convaincus, l'autre jour, et pour eux, la fête fut totale. C'était à l'occasion de la semaine mondiale de l'entrepreneuriat que l'Institut des hautes études commerciales de Carthage célébrait son partenariat avec Ooredoo Tunisie et Fatales. On venait de terminer l'inauguration du nouvel amphithéâtre entièrement rénové par le partenaire technologique de l'Institut. Et l'on se dirigeait gaiement vers le nouveau Kub-turel, centre culturel estudiantin par excellence, regroupant les différents clubs de disciplines artistiques et activités culturelles de l'Ecole, siège «habillé» par la marque de cosmétique.Sous l'impulsion de Fatma Kilani, enseignante chercheure en marketing, en charge des événements culturels institutionnels à l'Ihec, et à son invitation, tout le monde avait mis la main à la pâte. Cette étonnante jeune femme, qui est un véritable agitateur culturel, conçoit les projets, trouve les financements, attire les artistes, galvanise les étudiants et réussit à créer un véritable pôle culturel au sein d'une institution plus connue pour son goût des chiffres que celui des arts.Là sont réunis les clubs de théâtre, de cinéma, de hip-hop, de musique, mais aussi le club médias et le club events, ainsi, bien sûr, que les arts plastiques. Le Kub-turel avait été aménagé avec une option «récup». Mémia Taktak, la complice de tous les bons coups, avait créé les meubles, banquettes et tables, la scène, les étagères, avec des palettes de bois des containers de marchandise, venus de chez Fatales. Et les étudiants en gestion savent bien que la quantité de marchandises importées traduit la santé d'une économie. Aycha Gorgi, l'autre complice, avait offert la rampe lumineuse de sa galerie qu'elle vient de remplacer. Meryem Bouderbala avait dessiné le logo. La bibliothèque, déjà assez fournie, sera renforcée par des dons amis promis à l'occasion.Ils étaient tous là, ce jour-là, les musiciens, les danseurs faisaient montre de leur savoir. Les autres se promettaient de s'y mettre.
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