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Huawei Tunisie accompagne le «Digital Tunisia Days » Expo 2020 dubaïLes «Digital Tunisia Days 2021», organisées par le ministère des TIC à l'exposition universelle 2020 de Dubaï, avec le soutien de Huawei qui ont été fortement marquées par la présence du leader mondial des infrastructures TIC, des dispositifs intelligents, se sont déroulées les 7,8 et 9 décembre 2021. L'expo 2020 Dubaï s'étend sur six mois, accueillant plus de 190 pays et 25 millions de visiteurs, sur le thème «Connecter les esprits, créer l'avenir».
Pour cette édition, les «Digital Tunisia Days 2021» ont réuni des étudiants, des universitaires, des chercheurs, des start-up tunisiennes, des structures d'appui et d'accompagnement et des PME. Cette vitrine a été l'opportunité de promouvoir les savoir-faire et innovations des acteurs tunisiens auprès des visiteurs internationaux afin de réunir l'ensemble de l'écosystème pour la première fois autour d'un même événement.
Lors de son speech, M. Lin Xingshuo, le directeur général de Huawei Tunisie, a déclaré : «Nous sommes intimement convaincus que la technologie peut aider à améliorer la vie quotidienne, à stimuler l'économie et à développer l'ensemble de la société. Peu importe qui sera le lauréat de cette édition, vous êtes déjà tous gagnants ! Quant aux start-up, elles sont devenues un facteur incontournable de la croissance du secteur TIC et de développement de l'économie». M. Lin Xingshuo a profité de cette occasion pour rappeler que Huawei continuera à apporter son soutien et sa contribution en tant que partenaire stratégique pour le gouvernement tunisien et tous les partenaires locaux et à soutenir la création d'un cadre propice en faveur des start-up tunisiennes. Cet événement a été, par ailleurs, l'occasion pour Huawei de révéler son spot anniversaire. En effet, présente en Tunisie depuis 1999, Huawei a été un acteur majeur dans le soutien de la transformation technologique et de l'économie numérique du pays. A travers ce spot, Huawei remonte le temps pour retracer cet investissement et réitère son engagement pour un futur prospère en Tunisie, que ce soit à travers la formation des talents TIC ou la mise à disposition des dernières solutions technologiques. Intervenant à cette occasion, le ministre des technologies de la communication, Dr Nizar Ben Néji, a mentionné que le pavillon Tunisie à l'exposition «Expo 2020 Dubaï» est une occasion de présenter les réalisations du pays dans divers domaines. Il a également souligné l'importance de mettre en avant les réussites des start-up tunisiennes et leur donner les moyens de bénéficier des opportunités de partenariat. Le ministre des TIC a remercié l'ensemble des participants qui ont contribué à la réussite des «Digital Tunisia Days 2021» en particulier Huawei pour son soutien et sa contribution au développement de l'écosystème des cap en Tunisie depuis plus de 20 ans. Il a également félicité les PME, étudiants, incubateurs et start-up présentes pour leurs efforts et leurs excellentes performances dans le domaine des hautes technologies : Les «Digital Tunisia Days 2021» ont une véritable valeur ajoutée pour le développement des start-up tunisiennes visant à promouvoir leurs produits et solutions à l'international. Enfin, la délégation ministérielle a eu l'occasion de profiter d'une série de visites des centres d'innovation et d'excellence de Huawei à Dubaï et Abou Dhabi où elle a pu découvrir les dernières innovations technologiques. L'approche du centre d'excellence Huawei en matière de transformation digitale se base sur des recherches fondamentales et appliquées en A à vocation industrielle et à des domaines d'application verticaux spécialisés.
Déployés dans plusieurs secteurs, ces applications sont déclinées en services cumulés dessinant les contours des Smart City du future, à même d'améliorer la qualité de vie de ses habitants et visiteurs grâce aux nouvelles technologies.
Un million d'appareils fonctionnant sous Windows piratés par un réseau malveillant
Ce réseau d'appareils infectés a été baptisé Glupteba. Le géant de l'Internet a déposé plainte contre des hackers russes qui agiraient depuis de nombreuses années.
Un million d'appareils électroniques, fonctionnant sous Windows, piratés pour servir à des attaques de rançongiciels à grande échelle : c'est le réseau identifié par Google'dont certains produits et services sont utilisés par les hackeurs pour infecter les machines'et qui est visé par une plainte du groupe californien, a annoncé ce dernier, mardi 7 décembre, dans un communiqué. Baptisé Glupteba, le réseau d'appareils infectés'ou botnet' qui servait aussi à miner des bitcoins, a été rendu inaccessible aux personnes qui le manipulaient, au moins pour l'instant. «Les opérateurs de Glupteba vont certainement essayer de reprendre le contrôle sur le botnet grâce à des sauvegardes et mécanismes de contrôle», notent cependant Shane Huntley et Luca Nagy, du groupe d'analyse des menaces de Google. Les géants des technologies, comme Google ou Microsoft, sont très investis dans la lutte contre le cybercrime qui passe par leurs produits et services, ce qui leur donne une compréhension unique des failles et conséquences.
Elon Google, le réseau malveillant, comprend environ un million d'appareils sous le système d'exploitation Windows dans le monde, et a servi à différents crimes, dont le vol d'identifiants des utilisateurs et de victimes aux Etats-Unis, en Inde, au Brésil et en Asie du Sud-Est. La société a déposé plainte auprès d'une cour fédérale de New York contre Dmitry Starovikov et Alexander Filippov. Elle demande au juge de les bloquer sur ses plateformes. Des experts en cybersécurité avaient évoqué l'existence de Glupteba dès 2011. Il se faisait passer pour un logiciel gratuit ou des vidéos à télécharger. Mais, contrairement aux botnets conventionnels, qui ne survivent que sur des systèmes prédéterminés, Glupteba est programmé pour trouver un serveur alternatif en cas de détection afin de continuer à fonctionner, d'après la plainte de Google.
Etant donné sa taille immense, ce réseau risque de servir à des attaques au rançongiciel de grande envergure. Pour garder son emprise sur un tel nombre d'appareils, les pirates «utilisent des publicités sur Google pour des offres d'emploi pour les sites Web» qui mènent des activités illégales. Ils ont aussi eu recours aux services de Google pour distribuer le logiciel malveillant : le groupe américain a retiré quelque 63 millions de documents hébergés sur Google Docs et mis fin à plus de 1.100 profils Google créés pour répandre Glupteba.
Adidas va lancer une collection de produits en NFT
Après Nike, une autre marque de sport affirme son intérêt pour le métavers. Adidas va proposer des vêtements virtuels, dédiés à ce nouvel espace plébiscité. Le géant sportif Adidas va mettre un pied dans le monde du métavers en lançant sa première collection assortie de NFT, ces objets numériques certifiés qui bouleversent le marché de la culture et autour desquels se pressent les grandes marques.
Le métavers est «l'avant-garde de la créativité» et «il est naturel pour Adidas Originals d'y entrer», explique Erika Wykes-Sneyd, vice-présidente marketing et communication de la marque, dans un communiqué. La marque Adidas Originals commercialisera à partir de vendredi des NFT achetables en cryptomonnaie qui donneront dans un premier temps un «accès exclusif» à des accessoires numériques utilisables dans le jeu vidéo The Sandbox. Des produits physiques liés, comme un sweat spécifique, seront également disponibles à la vente pour les membres de ce club restreint qui auront acquis ces NFT pour 0,2 ETH (Etherum, soit près de 700 euros) l'unité. Le «métavers», contraction de méta-univers, désigne un réseau d'espaces virtuels interconnectés, parfois décrit comme l'avenir d'Internet.
L'intérêt des grandes marques pour le métavers est de plus en plus marqué depuis que Meta (nouveau nom de Facebook) a annoncé fin octobre vouloir faire de cet espace son nouveau projet d'entreprise.
Quasiment inconnus, voici encore un an, les NFT («non-fungible tokens» ou jetons non fongibles en français), sont des certificats d'authenticité et de propriété basés sur la technologie «blockchain», un système inviolable qui authentifie aussi les transactions d'échanges de cryptomonnaies. Ils représentent pour certains la nouvelle poule aux 'ufs d'or du marché de l'art contemporain et sont devenues en quelques mois des incontournables des maisons d'enchères, atteignant des prix de plusieurs millions de dollars 'le record revenant à l''uvre entièrement numérique de l'artiste américain Beeple avec 69,3 millions en mars chez Christie's. Adidas n'est pas seul à se ruer vers ce nouvel horizon numérique. Son concurrent américain Nike a annoncé lundi le rachat de Rtfkt (prononcer «artéfact»), une start-up de mode digitale qui repose également sur la blockchain.
Le géant français du jeu vidéo Ubisoft commercialise, de son côté, également des NFT qui permettent, par exemple, à un joueur d'acquérir une arme ou un véhicule unique comportant un propre numéro de série utilisable dans un jeu.
Pour son arrivée dans le métavers, Adidas s'est associé à des noms respectés de la communauté crypto, comme le Bored Ape Yacht Club, une des plus importantes collections de NFT, regroupant 10.000 «jetons» liés à des images uniques de singes, vendus à plus de 200.000 dollars l'unité.
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