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Accordez vos violons!


p class="p1" style="text-align: right; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 12px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Par Samia HARRARPlusieurs voix, en concert, ne débouchent pas forcément, sur la cacophonie. L'harmonie naît du ch'ur, lorsque la chef d'orchestre a donné le « la », sans dispersion d'ensemble. La petite musique en politique, pour ce qui nous concerne, en ce début d'année, qui est censé donner le « tempo », s'avère pour le moins, ahurissante. Pour peu qu'on intègre l'idée, que la pluralité est ce qu'il y a de plus merveilleux en démocratie : son « ersatz » en somme, la « petite musique » en question, ne semblera aucunement, inappropriée.
Assourdissante '
Il va falloir, pourtant, trouver le juste milieu, ou, le « choix du roi », qui sera, on l'imagine aisément, un exercice de très haute voltige, dans le paysage délétère, de la vie politique sous nos cieux, si l'on veut redresser la barre, du pays, avant le Grand Naufrage, dont tous les indicateurs nous menacent, et qui n'a, fort heureusement, alors qu'il était donné pour imminent, pas encore eu lieu.
A part s'en féliciter, que convient-il de faire, pour sauver ce qui doit être solvable, à savoir, un embarcadère à la dérive, secouée par tous les flots, et un pays qui tangue '
La réponse, sans surprise, serait d'opérer, manu militari, à des élections anticipées. Mais attention : il faudrait s'entendre sur l'essentiel. Et l'essentiel justement, eh bien il semblerait qu'il ne soit pas le même pour tout le monde. Lors même qu'un Iyadh Elloumi s'échine à répéter qu'une présidentielle anticipée serait de nature à remonter les flots pour aboutir à bon port, un Youssef Chahed, verrait plutôt, en guise de solution, drastique, et, de circonstance, en vue de ce qui se passe au parlement, l'exigence de la tenue, le plus tôt possible, d'élections législatives anticipées. Avec, d'abord, en guise de préambule au tableau de bord : le changement du code électoral, qui serait devenu obsolète, compte tenu des innombrables nouveaux défis, qui se posent à la Tunisie d'aujourd'hui, parce que ce code, serait à l'origine, de toutes nos défections.
A l'échelle d'un pays, qui lutte, quasi chaque jour pour sa survie, en ce temps de pandémie, certes, généralisée, faut-il attendre, le « fait du Prince », pour trancher ' Ou, tout changer... pour ne rien changer '
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